Il s’agit là aussi de trouver une première syllabe identique mais sous forme de loto, avec un meneur de jeu dans cette version. L’enseignant devra dire tous les mots de la grille et des cartes avant de commencer. Ce jeu se joue en petit groupe (4 enfants).
GS – niveau 1/2
Les élèves doivent trouver parmi quatre mots celui qui ne finit pas comme les autres. Ce jeu demande à être dirigé puisqu’il faut absolument s’assurer que tous les mots sont compris et non remplacés par un autre qui rendrait le jeu impossible : par exemple utiliser le mot écran au lieu de télévision pour la première image de l’illustration enlèverait la rime commune « on » et empêcherait le jeu.
Le jeu est d’autant plus difficile que ce ne sont pas seulement des syllabes ou des phonèmes seuls qui riment mais soit l’un soit l’autre soit un groupe de phonèmes plus petit que la syllabe.
Ce jeu peut s’organiser individuellement ou en petit groupe. Il peut être précédé d’une étape avec les images agrandies et un travail au tableau en demi-classe.
GS/CP – niveau 3
Les élèves doivent trouver parmi quatre mots celui qui ne commencent pas comme les autres. Ce jeu demande à être dirigé puisqu’il faut absolument s’assurer que tous les mots sont compris et non remplacés par un autre qui rendrait le jeu impossible : par exemple utiliser le mot soupe au lieu de bol pour la deuxième image de l’illustration enlèverait l’attaque commune « sou » et empêcherait le jeu. Ce jeu peut s’organiser individuellement ou en petit groupe. Il peut être précédé d’une étape avec les images agrandies et un travail au tableau en demi-classe.
GS/CP – niveau 2/3
Il s’agit de trouver l’emplacement de la syllabe dans le mot proposé. L’enseignant doit préciser pour chaque carte le son recherché. Ce jeu ne peut être autonome en grande section mais peut l’être avec des enfants qui savent lire au CP.
GS/CP – niveau 2
Avec une série de cartes représentant des mots monosyllabiques (exemple : nez, pot, scie, reine), les élèves doivent former un mot existant de deux syllabes. Avant de jouer, il convient de s’assurer que tous les cartes représentent des mots connus et univoques.
Ce jeu est assez difficile et délicat car il demande une mise à distance de l’enfant par rapport au sens et par rapport à l’image représentée par les mots monosyllabiques.
GS/CP/CE1 – niveau 3
Il s’agit de trouver parmi un lot de cartes deux mots qui comprennent le même son (la même syllabe). Ce jeu est difficile car il mélange rimes, attaques et position au milieu. Il est éventuellement abordable en fin de CP en travaillant la syllabe [son] et en disant « trouve où se situe le son [x] ».
CP – niveau 2/3
Il s’agit de constituer une série de mots s’enchaînant de la façon suivante : la dernière syllabe du premier mot est identique à la première du mot suivant : barrage à genou. Il convient de prononcer toutes les syllabes, y compris celles avec des lettres muettes comme le « ge » de barrage. Ce jeu est difficile car il demande de la décentration par rapport au mot dit et est destiné aux les enfants déjà habitués aux jeux phonologiques. Il serait plutôt les CP-CE1.
L’autocorrection n’étant pas possible, il faut forcément l’adulte pour valider.
Fin GS – CP/CE1– niveau 3
Le jeu du dictionnaire se joue en atelier, en semi-dirigé ou en autonome lorsque les enfants sont habitués au jeu et au fonctionnement des dictionnaires (voir article sur les dictionnaires). C’est un jeu plus facile d’accès que les défis lecture. Il s’agit de replacer sur la grille les étiquettes images. Les mots ne sont pas mis dans le même ordre que le dictionnaire et parfois pas avec le même article. Les enfants doivent s’aider des dictionnaires : soit ceux de la classe, soit ceux individuels dans les cahiers dictionnaires.
Les grilles peuvent être utilisées avec 3 graphies (capitales, script minuscule ou cursive minuscule) en début d’année de grande section puis avec 2 graphies ensuite (sans la capitale d’imprimerie).
Chaque enfant a sa grille et va à son rythme. On peut imaginer avoir une grille corrigée pour une aide dont l’enfant se servirait de façon autonome s’il est bloqué (à gérer avec précaution car certains auraient tendance à aller chercher la grille de contrôle dès le début).
Ces jeux ont été développés sur une idée de Myriam Hamza.
en cliquant sur les titres
Un défi-lecture se joue en atelier, en semi-dirigé ou en autonome lorsque les enfants sont habitués au jeu et au fonctionnement des dictionnaires (voir article sur les dictionnaires).
Il s’agit de replacer sur la grille les étiquettes images ou les étiquettes mots manquantes. Les mots ne sont pas mis dans le même ordre que le dictionnaire pour éviter que les enfants ne fassent le travail sans réfléchir.
Les enfants doivent s’aider des dictionnaires : soit ceux de la classe, soit ceux individuels dans les cahiers dictionnaires.
Les grilles peuvent être utilisées avec 3 graphies (capitales, script minuscule ou cursive minuscule) en début d’année de grande section puis avec 2 graphies ensuite (sans la capitale d’imprimerie).
Chaque enfant a sa grille et va à son rythme. On peut imaginer avoir une grille corrigée pour une aide dont l’enfant se servirait de façon autonome s’il est bloqué (à gérer strictement car certains auraient tendance à aller chercher la grille de contrôle dès le début).
Ces jeux ont été développés sur une idée de Myriam Hamza.
en cliquant sur les titres
Les mots croisés ne sont pas évidents du tout pour la majeure partie des enfants de grande section. Il faut donc prendre du temps au début pour diriger les ateliers et expliquer leur fonctionnement. Il est tout à fait intéressant de mettre à disposition des élèves des grilles corrigées pour qu’ils s’auto-contrôlent à un moment de l’activité ou qu’ils trouvent une aide « autonome ».
l’école de ngaoundaba,
la plus belle des écoles du monde
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